Une surveillance des pratiques en ces domaines est toutefois nécessaire, d'où des dispositions dans divers pays visant tant à protéger l'épargnant qu'à éviter des taux usuraires pour l'emprunteur.
Ces journaliers sont soumis à l'arbitraire de l'embauche quotidienne, aux taux usuraires par lesquels ils doivent rembourser les avances en nourriture ou en semences (souvent plus de cent pour cent).
De nouveaux instruments, comme ceux de microfinance, peuvent permettre de limiter les pratiques usuraires et de favoriser l’éclosion d’initiatives tout en faisant appel à la responsabilité des emprunteurs.