En revanche, la seule qualification de "mouvement sectaire" donnée par des rapports parlementaires ne suffit pas à justifier d'un quelconque trouble à l'ordre public.
Ceux à l'encontre desquels elles s'exercent ne sont pas considérés comme déviants d'une orthodoxie mais comme « sectaires », c'est-à-dire fauteurs de division.
Il existe donc des risques certains de voir ces médecines exploitées par des charlatans, des groupes sectaires etc…, tous voyant en elles un profit immédiat.