Mais ces dernières années, de nouvelles infrastructures ont permis à un nombre sans précédent de pèlerins d'entrer sur le site, modifiant ainsi les rituels séculaires.
L'hypothèse écologique (surpêche, sècheresse...) est contredite par le fait que les pratiques incriminées sont séculaires, et l'infection canine absente dans le passé.
Ces objets se retrouvent dans de nombreuses boutiques du centre-ville perpétuant cette tradition marchande séculaire entre la vieille ville marchande et sa périphérie.