Les fidèles se font oindre par l'houngan de parfums et de sirop d'orgeat avant de se plonger dans l'eau qu'ils ont remplie d'herbes curatives et de fleurs rouges.
La sorcière ânière se sert d'une marmite et d'un pinceau pour l'oindre « le visage, les mains, la poitrine, les parties honteuses et la plante des pieds », selon la relation citée.