Il est également la langue maternelle de 87,6 % des habitants d’Åland, dont le monolinguisme suédois est garanti par des traités internationaux et les lois finlandaises.
On ne peut en approcher l' "essence" qu'au fur et à mesure des substitutions et des permutations auxquelles obligent l'exercice aveugle de la traduction (cf. "le monolinguisme de l'autre").
Entre le réel évolutif et le langage inflexible, l'individu porteur de troubles schizophréniques éprouve une profonde rupture et s'enferme dans un monolinguisme qui le coupe du réel et du social.