Les tanneries traitaient les gros cuirs, les peaux de bovin, les mégisseries les peaux de mouton, de chèvre et d’agneau blanchies dans des bains de farine et d’œufs.
Son père, marchand aisé, négociant en vins et mégissier de son état, lui ordonne de quitter l’école à 13 ans pour aller travailler dans la mégisserie familiale.
Les unes portant sur le dépassement financier, les autres sur son architecture qualifiée, au choix, de « mégisserie », de « séchoir à tabac », voire « d'hôpital d'incurables ».