Les effets secondaires génito-urinaires ont souvent inclus : vaginite (6 %), infection des voies urinaires (5 %), l'incontinence urinaire et l'impuissance.
C'est donc, selon eux, toujours à l'encontre « d'une opinion vraie et non d'un savoir véritablement scientifique que nous agissons dans l'incontinence ».