Cela oblige à des « acrobaties » comme le doublement des chromosomes (gamètes diploïdes), le passage par l'intermédiaire d'hybrides complexes (espèces « ponts »), ou par l'hybridation somatique.
Le caractère de résistance au glyphosate a pu aussi, parfois, se transmettre par hybridation avec des espèces apparentées aux espèces modifiées (cas de pollution génétique).