Cette sensation, généralement envahissante, souvent liée à une situation de désœuvrement peut quelquefois entraîner un état de détresse émotionnelle, telle que la tristesse.
Le désœuvrement explique que les gardiens de phare exerçaient souvent des activités parallèles et complémentaires (tenancier de débits de boisson, peintre, serrurier).
Chaque année, cette spécialiste organise plus d'une vingtaine d'activités culturelles ou de loisirs destinées aux détenus afin de lutter contre leur désœuvrement.