Le moine défroqué avait trop souffert sur les grandes routes et dans les mains des sbires pour ne pas préférer l'ennui du couvent à la vie poétique des gueux.
Deux mille prêtres vont défroquer en une douzaine d'années et les ordinations ne sont plus alors qu'une quinzaine par an (au lieu de trois cents en moyenne).
Par la quatrième et dernière étape, il est ordonné aux bettō et shasō défroqués de se faire « prêtres de sanctuaire » (kannushi) et de retourner à leurs sanctuaires.