Les métiers liés à l'élevage de chevaux sont alors nombreux, notamment celui de « hongreur » (personne chargée de castrer les mâles), de bourrelier et de maréchal-ferrant.
L'établissement conservait par ailleurs une collection de voitures hippomobiles et est, à sa manière, un conservatoire de métiers traditionnels : palefreniers, maréchaux-ferrants ou bourreliers.
Le « grenier des artisans » abrite différents espaces présentant les corps de métier traditionnels et leurs outils (sabotier, bourrelier, cordelier, forgeron, potier …).
En retour, le développement de l'artisanat (métallurgie, charronnerie, bourreliers, métiers du bâtiment) accélère le développement de l'agriculture en assurant la fabrication des outils nécessaires.
Des métiers annexes concernent la confection et la vente d'outils et d'instruments spécialisés : les selliers-bourreliers confectionnent les selles et les brides.