Un projet de loi de 2015, concernant le code pénal, conçoit, au travers de l’article 219 d'alourdir les peines contre tout propos ou acte jugé blasphémateur.
Le parlement enregistre un nouvel édit contre le duel « mal funeste […] au général et aux principales familles de notre royaume » et un édit contre les blasphémateurs.
Avec la liberté de pensée qui est un pilier des sociétés démocratiques, l'idée que les États puissent poursuivre comme blasphémateurs les incroyants et les athées n'est plus de mise.